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passé
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Dites-moi où, en quel pays
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Est Flora,¨
la belle Romaine,
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déesse romaine des fleurs
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Archipiades,¨
et Thaïs,¨
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Alcibiade; Réputée à Athènes pour sa beauté
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Qui fut sa cousine germaine,
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Écho¨
parlant quand bruit on mène¨
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nymphe; fait du bruit
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Sur la rivière ou sur l’étang,
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Qui eut la beauté plus qu'humaine
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Mais où sent les neiges d'antan?¨
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du passé
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Où est la sage Héloïs¨
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Héloise avait une correspondance d'amour platonique avec Abélard
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Pour qui fut châtré et puis moine¨
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religieux
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Pierre Abélard¨
à Saint Denis?
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théologien chrétien
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Pour son amour ce fut la peine¨
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punition
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Semblablement,¨
où est la reine
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également
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Qui commanda que Buridan¨
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philosophe; instigateur du scepticisme religieux
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Fit jeté en un sac en Seine?
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Mais où sont les neiges d'antan?
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La reine Blanche comme lis¨
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fleur blanche
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Qui chantait à voix de sirène,
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Berthe au grand pied,¨
Biétris¨
, Alis¨
,
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mère de Charlemagne; aimée de Dante; Aliénor d'Aquitaine
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Harenburgis¨
qui tint le Maine,¨
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Arembour, comtesse du Maine, morte en 1226; fut maîtresse du Maine
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Et Jeanne¨
la bonne Lorraine
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Jeanne d'Arc
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Qu'anglais brûlèrent à Rouen,
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Où sont-elles, Vierge souveraine?¨
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la vierge Marie
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Mais où sont les neiges d'antan?
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Prince, ne cherchez cette semaine
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Ou elles sont, ni de cet an,
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Pour qu'à ce refrain vous vous tienne
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Mais ou sent les neiges d'antan?
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LXXV
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Il me souvient¨
bien, Dieu merci,
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je me rappelle
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Que je fis alors en partant¨
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en quittant Paris
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Certains lais¨
l'an cinquante-six¨
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poésies; en 1456
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Qu'aucuns¨
sans mon consentement,¨
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certain gens; permission
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Voulurent nommer Testament;
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Ce fut leur plaisir, non le mien.
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Mais quoi? on dit communément¨
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souvent
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Qu'aucun n'est maître de son bien.
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LXXXV
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D'abord, je donne ma pauvre âme
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À la très Sainte Trinité¨
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Dieu en trois personnes
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La recommande a Notre Dame,
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Séjour de¨
la divinité¨
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qui a porté; Dieu
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Priant touts la charité¨
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amour
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Des dignes¨
neuf Ordres¨
des cieux
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respectueux; hiérarcie des anges
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Que par eux ce don soit porté
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Devant le Trône précieux.¨
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de Dieu
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Ici se clôt¨
le testament
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finit
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Et finit du pauvre Villon.
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Venez a son enterrement,
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En entendant le carillon,
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Vêtus¨
de rouge vermillon,
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habillés
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Il mourut en amour martyr.
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Prince, fier comme émerillon,¨
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oiseau de proie
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Sachez ce qu'il fit au partir:
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Il but bien du vin morillon¨
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rouge sombre
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Quand de ce monde il dut partir.
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Frères humains qui après nous¨
vivez,
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après notre mort
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N'ayez les cœurs contre nous endurcis¨
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sans pitié
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Car, si pitié de nous pauvres avez
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Dieu en aura plus tôt de vous merci¨
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miséricorde
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Vous nous voyez attaches a cinq, six:
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Quant à la chair¨
que trop avons nourrie,¨
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le corps; mangé
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Elle est déjà dévorée¨
et pourrie
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mangée
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Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
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Que personne de notre mal se rie;
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Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre¨
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pardonner nos péchés
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Si nous vous nommons frères, n'en ayez
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pas dédain¨
quoique¨
nous fussions occis¨
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ne le rejetez pas; malgré le fait que; tués
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Par Justice. Toutefois¨
vous savez
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mais
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Que tout homme n'a pas bon sens¨
rassis¨
?
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intéligence; sérieux
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Excusez-nous, -car nous sommes transis-,
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Envers¨
le fils de la Vierge Marie,
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auprès de
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Que sa grâce ne soit pour nous tarie¨
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mis à sec, fini
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Nous préservant¨
de l'infernale foudre.¨
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conservant; feu de l'enfer
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Nous sommes morts, qu'aucun ne nous charrie¨
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que personne se ne moque de nous
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Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre.
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La pluie nous a lessivés¨
et lavés,
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nettoyés
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Et le soleil desséchés et noircis;
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Pies, corbeaux, nous ont les yeux excavés¨
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creusés
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Et arraché la barbe et les sourcils.
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Jamais, nul temps, nous ne sommes rassis;¨
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calme
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Puis ça, puis là, comme le vent varie,
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À son plaisir sans cesse il nous charrie,¨
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fait balancer
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Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre.
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Ne soyez pas de notre confrérie¨
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compagnie
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Mais priez Dieu que tons nous veuille absoudre.
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Prince Jésus, à qui tous est soumis,
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Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie¨
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fias que l'enfer ne nous domine pas
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À lui n'ayons que faire ni que soudre.
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Hommes, il n'y a pas de moquerie
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Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre.
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